Interview Vent77

Interview Vent77-511

Le magazine en ligne Point of Vandals a réalisé une interview de Vent77, un writer anglais inspiré par le graffiti new yorkais des années 70.

« Je peins depuis 1999, mais j'étais dedans depuis un petit moment. J'ai découvert le graffiti par le skate, on se déplaçait de spot en spot pour skater et il y avait des graffs partout. Je ne connaissais pas vraiment de writers à l'époque, je trainais avec mes potes qui ont commencé en même temps que moi. On allait dans des endroits abandonnés faire quelques tags et quelques throw ups. Je me suis mis à faire des pièces 1 ou 2 ans plus tard. »

« La scène anglaise est divisée entre les adeptes du bombing et les adeptes des hall of fame, mais personne ne combine les 2. Le graffiti doit se pratiquer à différents niveaux, dans la rue, les terrains et sur les trains. Certains ne devraient pas l'oublier. »

« Chaque fois que tu sors peindre, il y a une histoire à raconter. Spécialement quand on est saoul. Tout semble alors être une bonne idée comme escalader le toit d'un bâtiment déglingué et passer au travers. J'ai eu aussi de sacrées mésaventures en franchissant un grillage pour sortir des voies, mon pantalon s'y est accroché, je me suis retrouvé la tête en bas, bloqué. J'étais tellement bourré que j'ai dû retirer mon froc pour me libérer. »

L'intégralité de l'interview est à lire en anglais ici.

5 commentaires

  1. GaPe le

    Pardon mais j’ai l’impression de ne voir que ça comme graffiti ces derniers temps. ok pour l’aisance mais le style me laisse perplexe… j’ai du mal à m’y retrouver

    • GaPe le

      edit: c’est du Graffoutoir aussi facile à réaliser qu’il est difficile à doser… trop amphigouri à mon goût.

  2. Capdorigine le

    C’est des ingrédients comme dans une recette…cap d’origine, goutelettes, bulles, couleurs tranchées, lettres semi-bubble, j’avoue qu’ça ressemble à tout en même temps…

  3. tcheb le

     » Le jugement concernant le beau n’est pas un jugement subjectif. Il ne se fonde pas seulement sur une sensibilité personnelle. Or, l’appréciation du beau dépend des goûts de chacun. Ces goûts ne sont pas discutables. Ils ne sont ni vrais, ni faux. »
    Mortel

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