Les graffeuses moscovites n'ont rien à envier à leurs homologues masculins. Elles le prouvent dans cette vidéo qui suit Quel, Mary, Ample et Okada pendant plusieurs missions nocturnes dont une dans un lay-up local.
Quelques photos des girlies :
Source : ILG
C’est toujours le même problème avec la question du genre dans le graffiti : qu’une pièce soit faite par un homme, une femme ou un singe apprivoisé, ON S’EN BRANLE! Ce qui compte c’est l’originalité, le style, la quantité, le risque et la « démarche » si elle existe.
Je ne suis pas contre l’idée de crews entièrement feminins et qui se revendiquent comme tels, mais alors qu’il y ait au moins une plus-value en comparaison des équipes de couilles. Ces filles, comme tous les autres ne font pas vraiment avancer la cause, et leur graffitti est aussi plat et cent fois revu que celui de leurs homologues masculins. C’est la où se trouve le piège, ces meufs ne font rien d’original et la seule chose qu’elles ont à revendre c’est justement d’être des meufs, soit l’aspect le plus trivial et sans intérêt du writing.