De passage à Berlin, les BHF enchainent les actions en station et en backjump. Déterminés, ils réussissent à peindre un wholecar en station. En bonus, une action à Cologne.
train
Trackside Donkeys Vol.1 & 2
Dans les premiers épisodes de Trackside Donkeys, on suit les RRS dans différents dépôts de trains en Europe.
La 1ère partie se déroule en Allemagne :
La 2ème partie se déroule en Belgique :
Source : Spraydaily
Trainspotting en Rhénanie-du-Nord-Westphalie part.3
En Allemagne, Ubel, Shark, Mason, Utah & Ether, Same, Foim, Razor, Shady, Emon, Ksino, Odes, Moer, Boms, Smut, Ibes, Screw, Taps et les crews IOR, ABM, CVA peignent sans relâche.
Dans ce nouvel épisode de trainspotting mis en ligne par Die Geschichten, panels, end to ends, wholecars s'enchainent sur S-trains et ICE (équivalent allemand du TGV).
Meck en escale à Berlin
DRIPS: l'auto-interview
Depuis cet été, Drips se fait remarquer en publiant des photos de graffiti sur Instagram. Entre-temps, nous les avons rencontrés, pour parler de ce qu'ils mijotaient dans leur coin : divers projets de publications, mais surtout un site internet dont la sortie était imminente. Aujourd'hui, Drips.fr est en ligne, avec un contenu éditorial sélectif et prometteur. En espérant que le projet perdure, All City a décidé de soutenir l'initiative, en tant qu'annonceur et partenaire média. C'était donc la moindre des choses de relayer leur « auto-interview », une présentation claire et efficace du projet.
Qui est Drips ?
Jusqu'à présent, c'est une sélection de graffiti triée sur le volet, présentée sur l'instagram Drips. Un peu dans l'esprit des fanzines graffiti de l'époque, mais distillée à dose directe et journalière, et forcément moins confidentielle, 21ème siècle oblige. En ce moment sur la page, l'heure est aux trains et métros majoritairement français.
Qui est aux commandes ?
Quelques passionnés de Graffiti. On reçoit des photos et on écume le net, Instagram mais aussi les placards à archives pour en extraire des pépites : du classique, de la peinture fraîche, parfois de l'exclu.
Êtes vous des (ex) writers ?
Oui.
Et on peut savoir vos…
Non.
Aujourd'hui, le projet s'étend au site internet.
Sur Drips.fr le but est d'aller au delà d'Instagram et dépasser la simple collection de photos. Au programme donc, élargir l'horizon, creuser plus loin dans la scène graffiti, proposer plus.
Comment est financé le projet ?
Grâce à la participation de sponsors, accommodée d'une bonne dose d'huile de coude.
Qui sont-ils ?
MTN, Allcity.fr et Grog ont répondu à l'appel, trois acteurs majeurs du graffiti dont nous passerons en contrepartie les publicités sur le site. Si d'autres aiment le concept et souhaitent apporter leur soutien, ils sont les bienvenus. Ça permettra aussi par la suite de concrétiser différents micro-projets : édition, réalisation vidéo… les idées ne manquent pas et tout est ouvert.
Niveau contenu, on reste dans la vie du rail comme sur Instagram ?
Pas forcément, on aime les trains et les métros, mais ce qui se passe sur les murs et dans la rue est tout aussi intéressant. Donc on ira partout, déterrer des sujets classiques comme récolter les nouvelles fraîches qui à notre humble avis valent le coup.
Et le street art dans tout ça ?
Tout n'est pas à jeter. Il y a de la peinture étiquetée « street art » qui vaut carrément le détour. Si c'est le cas on ne se privera pas d'y jeter un œil, mêmes si nos axes d'intérêts penchent inexorablement vers le graffiti.
Les #12shot c'est quoi ?
Sur Instagram on a les photos sans l'histoire qui va avec. Dans cette rubrique on rectifie le tir en demandant à une brochette de peintres, photographes, trainspotters et autres « initiés » les sous-titres d'une sélection de 12 de leurs propres photos. Pekno et Konas94 ouvrent le bal, puis viendront Sheik, Salamech, Dezio, Poes 1UP, et bien d'autres.
Pourquoi 12 ?
12 mois, 12 heures, 12 commandements, 12 apôtres, 12 singes, 12 coups… coïncidence ? je ne crois pas.
Tout en français ?
Le site est entièrement rédigé en français. Mais pour les lecteurs non-francophones, il suffit de cliquer sur English pour le visualiser à 100% en Anglais. La traduction fonctionne grâce à Google Translate, il ne faut donc pas s'attendre à du Shakespeare, mais le niveau permet à tout le monde de lire les articles à l'international.