Le graffiti dans les rues de Berlin est bel et bien vivant, la preuve en images sur Ueberdose.de.
Reportage de 26mn réalisé en 1993, sur le phénomène du graffiti à Paris.
Si pour vous le graffiti est synonyme de dégradation, passez votre chemin. Pour l'association Dirty Est, composée de jeune street-artistes, le graffiti est un moyen d'expression et leur outil de communication de base tout en essayant de ne pas prendre la vie au sérieux. Voilà comment ils se présentent sur leur site :
« Comme vous ne l'avez peut être pas encore compris Dirty Est est un collectif regroupant diverses choses. Si vous aimez les expos de bon goût, au charme désuet des années 30 où il fait bon déambuler dans les allées ornées de toiles de maîtres à la valeur inestimable et dont la simple vue vous nourrit l'âme et la comble jusque dans les tréfonds les plus insondables de la perception, venez quand même a nos expositions…
Open couscous, bières et cacahuètes, les habitués des vernissages parisiens ne trouveront probablement pas leurs marques habituels, mais le patron du bar, «René la chtouille» (comme aiment à l'appeler ses clients les plus férus d'art) saura les mettre à l'aise avec quelques bon mot qui n'auraient rien à envier à la finesse d'esprit d'un Malraux ou d'un Gide ! (son recueil de poème «ma vie, mon œuvre, un demi, l'addition» est disponible dans la pléiade). »
Ils sont aussi à l'origine des Dirty freeze, flash mobs pendant lesquels ils tentent de faire passer un message sur l'art engagé.
Retrouvez la Dirty Freeze n°2 ici.
Parmi les photos de voyages, les portraits et les thaïlandaises dénudées, voici une sélection de quelques clichés d'action graffiti pris par Rick Hirtle.
Francisco Mosquera est un amateur de « street art » glanant des clichés de graffiti au rythme de ses balades à Sao Paulo au Brésil. Il a regroupé plus de 6000 photos des pixadores et de peintures dans les rues sur son Flickr.