All City Blog » exploration Graffiti News France Fri, 29 Aug 2014 17:00:32 +0000 fr-FR hourly 1 http://wordpress.org/?v=3.9.2 Crack the Surface – épisode 2 /30447-crack-surface-episode-2/ /30447-crack-surface-episode-2/#comments Mon, 30 Jan 2012 11:00:15 +0000 /?p=30447 Lire la suite ]]>

Après un premier épisode dédié aux sous-sols londoniens, les amateurs d'Urbex (exploration urbaine) de Crack The Surface reviennent avec un deuxième opus qui fait la part belle à l'Amérique du Nord. Ils visitent les entrailles secrètes et surtout interdites de grandes métropoles telles que New York, Indianapolis, Chicago, Las Vegas, Minneapolis et Montréal.

Toujours produit par Silentuk, Sub-urban et Placehacking, le documentaire aura nécessité pas moins de 6 semaines de shoot avec le soutien des aficionados locaux d'Urbex.

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Crack the Surface – épisode 1 /23308-crack-surface-episode-1/ /23308-crack-surface-episode-1/#comments Sun, 31 Jul 2011 10:00:36 +0000 /?p=23308 Lire la suite ]]>

L'Urbex (exploration urbaine) est en vogue. De plus en plus d'explorateurs urbains jouent au chat et à la souris avec la police et la sécurité en se baladant sur les toits et dans les entrailles des grandes métropoles.

Crack the Surface est une série de courts documentaires produits par Silentuk, Sub-urban et Placehacking. Le 1er épisode est consacré aux sous-sols londoniens.

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CJ's Publications /19178-cjs-publications/ /19178-cjs-publications/#comments Wed, 20 Apr 2011 10:00:42 +0000 /?p=19178 Lire la suite ]]>

CJ's Publications est une maison d'édition indépendante spécialisée dans les fanzines fabriqués maison. Tirés à trés peu d'exemplaires, ils regroupent des photos d'exploration urbaine, de friches et de graffiti en tous genres.

Les fanzines sont en vente sur le site et à la librairie Ombres Blanches à Toulouse, à la librairie Le Bal des Ardents à Lyon et à la librairie Mollat à Bordeaux.

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CTGM, The Day After 2 /19014-ctgm-the-day-after-2/ /19014-ctgm-the-day-after-2/#comments Sun, 17 Apr 2011 06:00:58 +0000 /?p=19014

Simon Gosselin présente la suite des aventures des CTGM sur une musique d'Amon Tobin.

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CTGM, The Day After /18777-ctgm-the-day-after/ /18777-ctgm-the-day-after/#comments Sun, 10 Apr 2011 17:00:57 +0000 /?p=18777

Après Damnati Ad Metallum, voici CTGM, The Day After, une nouvelle vidéo réalisée par Simon Gosselin qui suit les explorations sous terre et à la surface de Saotou, XXC, Kent et Trezone.

Quelques photos extraites du Tumblr CTGM :

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Exploration du métro parisien /16198-exploration-du-metro-parisien/ /16198-exploration-du-metro-parisien/#comments Mon, 17 Jan 2011 18:00:24 +0000 /?p=16198 Lire la suite ]]>

Il y a un an, on vous parlait déjà de Sleepcity, site anglophone d'exploration urbaine (Urbex). Les membres de ce site ont récemment exploré de fond en comble le métro parisien. Ils en ont ramené des photos inédites et un texte qu'on a traduit.

Le Métro de Paris et le service qu'il fournit sont profondément entrelacés dans le tissu de la ville. Les 4.5 millions de passagers quotidiens certifieront probablement que c'est le moyen le plus rapide pour se rendre à son travail, et/ou un fantastique terrain de jeux. Le style Art Nouveau si distinctif du métro parisien est omniprésent : les entrées de station en fer forgé vert se terminent à leurs cimes par des globes oranges, la signalisation métropolitaine a été entièrement conçue par Hector Guimard. Lors de mon premier séjour à Paris je suis arrivé à Gare du Nord et suis entré dans le labyrinthe dense du métro. Malgré la foule, le bruit et l'odeur distincte de pisse, je suis tombé amoureux. Cette sorte d'amour qui donne envie de risquer sa vie.

Historique
Le 20 avril 1896 le projet de construire un système de transport souterrain à Paris commence. Quatre courtes années plus tard la Compagnie du chemin de fer métropolitain de Paris (CMP) ouvre sa première ligne Est-Ouest de Porte Maillot-Porte à Vincennes. Peu de temps après la Société du chemin de fer électrique souterrain Nord-Sud de Paris s'est liée à la CMP  pour réaliser 10 lignes avant 1920. Initialement ces lignes desservaient exclusivement Paris (les résidents snobs se sont assurés que le métro n'aille pas en banlieue) De 1930 à 1950 la banlieue a été finalement connectée au reste du réseau. Le métro de Paris évolue et change constamment, il y a de nombreuses rénovations, extensions de ligne et automatisation (comme sur la ligne 14).

De retour en 2007, une nuit d'Octobre après minuit et avant que la circulation des trains ne commence, qx et moi avons fait nos premiers pas timides sur les voies du métro parisien. Avec beaucoup de nervosité et de soin, nous sommes descendus du quai avec précaution pour marcher entre les rails en se demandant quelle folie nous poussait à faire ça. Nous n'avions jamais fait ça avant et ce nouveau monde effrayant était plein de choses que nous ne comprenions pas du tout. On se méfiait du 3ème rail électrifié en se posant de nombreuses questions : quelle est la taille d'un arc électrique, peut-il nous atteindre, est-ce que ça arrive souvent, les caméras sur les quais peuvent-elles nous voir, est-ce qu'il y a de la sécurité dans les tunnels, des trains circulent-ils après la fin de service et s'il y en a à quelle vitesse se déplacent-t-ils, y a-t-il des gens qui vivent dans ces tunnels, est-ce qu'on y croisera des writers ?

On a entendu plein d'histoires concernant les membres de la sécu de la RATP qui ne s'encombrent pas du règlement et qui tabassent ceux qu'ils trouvent dans les tunnels avant de les foutre dehors.

On n'emportait pas de peinture avec nous mais est-ce que ça changerait quelque chose ?

On est descendu brièvement dans les tunnels en ressortant presque aussitôt de la station. Nos premières incursions étaient vraiment courtes et hâtives, on avait aucune idée de ce qu'on faisait, mais ça faisait l'effet d'un shoot d'adrénaline dans le bras d'un tox. C'était suffisant pour nous rendre accros et on a renouvelé souvent l'expérience comme 2 sales démons.

Les années suivantes, on est devenu esclave de cette addiction comme ceux qui ont grandi loin d'un système métropolitain. Semaine après semaine, on s'est introduit dans les tunnels aux premières heures, parcourant nos cartes, recouverts de la tête au pied par cette poussière noire et crasse qui ne part jamais vraiment des vêtements. Je me réveillais le matin d'après avec cette odeur si distinctive dans les narines, qui imprègne les vêtements, les draps et mes cheveux. La fine couche de crasse qui se logeait sous nos ongles ou entre nos doigts était une fierté, le symbole de notre dévotion. Ces symptômes ont
transformé notre apparence, notre discours et nos rêves. Le réseau comportait une liste infinie de possibilités à nos yeux et on voulait toutes les exploiter.

Les stations fantômes
Avant de se déplacer plus profondément dans le réseau, on s'est intéressé aux stations abandonnées. Certaines d'entre elles sont des lieux de stockage pour la RATP, d'autres sont complètement inutilisées et d'autres encore n'ont même jamais été ouvertes au public. Avec le temps on explorera tout.
Arsenal, Champ de Mars
Les stations Arsenal et Champ de Mars sont les plus faciles à visiter, c'est donc un bon échauffement. Alors qu'elles sont géographiquement opposées, elles partagent une histoire commune. Elles ont fermé le même jour, le 2 Septembre 1939 quand les employés du métro ont été réquisitionnés pour participer à l'effort de guerre. Après la guerre, elles n'ont pas été réouvertes en raison de leur proximité avec d'autres stations. Le métro de Paris est un des plus denses au monde avec une distance moyenne de 500 m entre les stations.

En sachant cela, on peut rejoindre les stations abandonnées en courant dans le tunnel. Évidemment on serait tenter de marcher, mais le luxe d'une promenade calme n'est pas au programme ! Les alcôves s'étalent à distance raisonnable, mais elles ne sont pas assez profondes pour vous cacher des chauffeurs, ce n'est pas la peine de les utiliser. Fais plutôt les lacets de ta paire de running et prépare toi à courir, à sauter et à te débrouiller avec des obstacles comme des bouts de bois abandonnés, des morceaux de métal, des cailloux du ballast et des câbles emmêlés.

Sois aussi prêt à te jeter entre le 3ème rail et le mur quand un métro arrive. Ce n'est pas les jeux olympiques, personne n'attend la grâce et la vitesse d'une gazelle et les cailloux du ballast seront les seuls témoins de tes exploits. Idéalement le coureur de tête s'occupe des trains qui arrivent en face, le dernier regarde derrière et la personne intermédiaire, s'il y en a une, évalue la distance parcourue. Il faut aussi se méfier des boîtes électriques et des protubérances du mur qui obligent à se baisser tout en faisant attention au 3ème rail, il ne faut pas s'assommer et finir grillé sur le rail. Les alcôves facilitent la progression, mais évalue correctement la distance qui t'en sépare (si t'es assez chanceux pour la voir) et décide s'il faut s'arrêter et attendre ou continue de courir en faisant confiance à la chance.

Croix-Rouge
La station Croix-Rouge était le terminus de la ligne 10 utilisée seulement pendant 16 ans, elle aussi fermée en 1939 en raison de la guerre et jamais réouverte. Comme les stations Arsenal, Champ de Mars et Saint Martin, on peut distinguer Croix-Rouge par les fenêtres du métro entre 2 stations. On s'est servi de cette base pour évaluer la distance à parcourir, pensant que ce n'était pas trop loin, j'ai invité ma copine à se joindre à nous. Elle a prudemment accepté et l'a aussitôt regretté quand on s'est rendu compte que c'était plus loin que prévu. Je doute qu'elle me le pardonne un jour.

Saint Martin
Saint Martin est la plus grande et la plus connue des stations abandonnées. C'est la seule à avoir 2 niveaux et 2 lignes de métros, la 8 et la 9 qui la traversent. En plus de sa taille, Saint Martin est connue pour ses affiches des années 40.


« Ces publicités datent de 1948, elles n'ont jamais été vues par le public. Notez qu'il n'y a aucun graffiti, ce qui signifie 2 choses : elles sont dans une zone fréquentée et surveillée par des caméras ou elles sont dans une zone difficile d'accès.
Après la guerre, le business de la pub dans le métro n'était pas en forme. Pendant les brèves réouvertures de ces stations, il a été décidé de les transformer en véritable vitrine de ce que la régie du métro pouvait proposer comme type de publicité aux annonceurs potentiels. Mais ces stations n'ont jamais ouvert et les affiches n'ont jamais été vues du public.
Ces 2 pubs font la promotion de produits réels, Maïzena existe toujours. C'est un exemple de pub annuelle semi permanente.  Fabriquées en céramique, elles sont en bon état 50 ans plus tard . » ( extrait de Pridian)

Les stations jamais ouvertes
Ces accès par les voies nous ont mis l'eau à la bouche, il nous en fallait plus. Haxo et Molitor appartiennent à une espèce différente, elles n'ont pas été finies, ni connectées à la surface, ni ouvertes au public. Il faut ajouter à cela qu'elles ne
sont pas sur le tracé utilisé par le service général, il n'est donc pas possible de les apercevoir par la fenêtre du métro. Elles sont situées prés de dépôts de métros, ce qui promet son lot d'aventures.

Haxo
La station abandonnée d'Haxo n'est pas vraiment une station, un seul quai a été construit et seulement une partie a été ornée du typique carrelage blanc du métro parisien. La station est entièrement recouverte de graffiti. Visiter Haxo est une aventure risquée. La Voie Navette venant du Sud est un dépôt de métro surveillé par des maîtres-chiens et rempli de travailleurs. 3 amis se sont fait attraper pour la première fois en essayant l'accès par la voie venant du Nord.

Molitor
Molitor est la station abandonnée la plus dure d'accès et ma favorite. Personne n'y a jamais pénétré, les seules images visibles sur internet sont des photos officielles de la RATP.

« La légende dit aussi qu'on peut accéder à la station par un escalier du lycée Claude Bernard. »

Jean Christophe Patat.

C'est évidemment une légende, on s'en rend compte après avoir passé les caméras et les alarmes, il n' y  pas d'autre chemin possible. Et ça se mérite. Molitor est un quai isolé sous une voute en carrelage blanc. Il n'y a aucune affiche à voir mais c'est compensé par le nombre de métros stockés. Et il y en a beaucoup. Vers le Sud, il y a la voie Murat remplie d'une dizaines de trains, avec encore plus de caméras, d'alarmes et d'aventures.

Tunnels de raccordement
En plus des stations citées précédemment, le système est rempli de tunnels de raccordement pour faciliter le passage du matériel roulant entre les lignes. Ces tunnels sont très pratiques, on peut s'y dissimuler en attendant la fin du trafic ou éviter les stations les plus fréquentées en passant d'une ligne à une autre. On peut aussi y chiller pour écouter les trains passer. Il ne faut pas trop prendre ses aises, un train de travailleurs peut toujours interrompre une petite sieste. On se tape facilement une petite suée en voyant arriver ces gros monstres diesel à 5 km/h remplis d'ouvriers.

Les tunnels de raccordement sont courts, il n' y a qu'une seule voie avec moins de graffitis que sur les lignes principales. Le souffle créé par le passage des rames envoie une fine couche de poussière qu'on retrouve partout. On peut penser qu'il y a moins de graffiti parce qu'il n'y a aucun passage. Il y a évidemment des exceptions et des surprises qui ne figurent sur aucun plan.

Le matériel roulant
Avec le temps les tunnels deviennent répétitifs, tout finit par se ressembler. C'est certainement un cliché mais les balades dans le métro deviennent une expérience et une aventure, un voyage sans destination particulière. Cette aventure n'est qu'une accumulation d'évènements imprévisibles qui peuvent être dangereux. Mais c'est l'intérêt de se balader dans un système vivant et comme on dit, il n'y a pas de nuit tranquille dans le métro.

Naturellement le plus grand risque est le matériel roulant. On ne se comporte pas comme les trainspotters à inspecter les différents modèles, on est plus impressionné par la puissance de ces machines qui peuvent nous réduire en bouillie sans aucun état d'âme. A la fin, on s'est surpris à essayer de s'approcher le plus possible de ces monstres fascinants.

Il y a les métros classiques, les métros automatiques comme sur la ligne 14 (et bientôt la ligne 1), les trains de travailleurs bien sûr et les Spragues. Une nuit, on s'est retrouvé sur nez à nez avec un Sprague à quai, comme s'il venait de sortir de la chaine de montage des années 30. C'était une rame à deux wagons, rouge et vert sur un fond blanc. Rouge pour la 1ère classe, vert pour la 2nde. Les sièges en bois de la 2nde classe étaient resplendissants et les sièges de la 1ère étaient capitonnés. Il n'a probablement pas bougé depuis, attendant d'être sorti pour un évènement. Ne me demandez pas ou c'est, je ne m'en souviens pas.

Les risques
Ces activités sont dangereuses et plus ou moins illégales, et je serais hypocrite en vous disant de ne pas faire ce que je fais. Je vous fournis donc une petite liste de situations auxquelles on peut être confronté.

-Se faire attraper saoul par la police et la sécurité, accompagné de 2 cataphiles français sous champignon.
-Se battre avec des français.
-qx laisse tomber ses clés sur le 3ème rail
-Courir devant un train fantôme prés de la station Vavin
-Sprinter dans un tunnel de raccordement après avoir touché un métro automatique qui s'est mis immédiatement en marche.
-Se cacher sous les sièges d'un wagon en attendant que les nettoyeurs passent prés de Molitor
-Un chauffeur à Place des fêtes nous a dit qu'il était content que personne ne lui jette de cailloux cette fois.
-Se faire surprendre dans un tunnel par un chauffeur de métro qui savait pertinemment qu'on était là.
-Rencontrer des travailleurs cool dans une ancienne station de métro et faire la sieste allongés sur le sol.
-Remonter sur le quai en sortant d'un tunnel avec un métro en station et tous les gens qui nous matent.
-Être pris en étau par 2 groupes de travailleurs prés d'un dépôt alors qu'on cherchait un tunnel de raccordement.
-Sortir d'un tunnel et voir que sur le quai la sécurité attend en guet-apens alertée par les caméras de surveillance, autant dire qu'on a fait demi-tour très vite.
-Se faire attraper par la sécurité effrayée par le 3ème rail. Voir leur têtes quand pensant mettre la main sur de la peinture dans nos sacs, ils tombent sur des objectifs photos.
-Se faire arrêter par les contrôleurs en sortant d'un tunnel sur le quai d'une station qui ne pouvaient pas nous donner d'amendes vu qu'on avait un ticket valide. ils ont du trouver autre chose pour nous mettre une amende.
-La police s'arrête un soir derrière nous alors que nous sommes en train d'essayer d'ouvrir un accès, pensant qu'il s'agit des Catacombes ils nous en demandent plus.
-Être coursé par un maitre-chien qui hurle « bougez pas, bougez pas »
-Courir pour éviter d'être vu par les caméras, les alarmes et un maitre-chien qui demande si on sort des tunnels. « Non mec, on est juste des australiens saouls à la Maximator 12%. »

Les curiosités
En acceptant les risques liés à ce type d'exploration et après avoir exploré les stations fantômes, les tunnels de raccordement on peut apprécier les curiosités du système, les endroits non répertoriés. Ces endroits qui font de ces ballades plus qu'un safari dans les stations abandonnées.

Parmi les trucs bizarres :

Sur les quais gardés toute la nuit par les maîtres-chiens on ne manquera pas la pissotière.

Les énormes systèmes de ventilation.

Le Zébulon, le prototype du MF67, dans une station en activité mais sur un quai à l'abandon.

Le petit morceau du tunnel de la Voie des Finances utilisée jusqu'en 1967 pour le transport de fonds des stations.

Les tunnels sous la Seine ressemblent à ceux de Londres.

Tunnel de la ligne 14 aux stations équipées de parois vitrées.

La boucle de Porte Maillot.

Photos en vrac :

Et bien sûr, un tunnel abandonné reconverti en dépôt de Spragues qui attendent leur entrée dans un musée. Peu de temps après notre visite on a appris que ce lieu avait servi à une énorme fête clandestine. Plus d'infos ici.

On n'a pas fait le tour complet du système, il est trop vaste et en permanente évolution. Il n'y a pas de liste définitive de lieux à explorer ni de plan, à vous de découvrir, de manière intuitive. Les graffitis n'enlèveront rien au plaisir de découvrir des endroits presque vierges et inconnus. On a rencontré absolument personne, pas de writer ni d'autre explorateur urbain. C'est facile de penser qu'il y a donc beaucoup à faire dans les sous-sols parisiens, à vous de jouer.

Source : Sleepcity

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Myosotis @ Sainte Catherine /15966-myosotis-sainte-catherine/ /15966-myosotis-sainte-catherine/#comments Fri, 14 Jan 2011 18:00:09 +0000 /?p=15966

Ghetto Farceur présente une vidéo de l'exposition qui a eu lieu du 12 Novembre au 18 Décembre 2010 à la Galerie Sainte Catherine, intitulée Myosotis alliant graffuturism, photographies d'explorations urbaines et dessins divers avec Dr Zekw, Paum et Grégory Buffier.

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Beneath a Steel Sky /15774-beneath-a-steel-sky/ /15774-beneath-a-steel-sky/#comments Fri, 07 Jan 2011 07:00:19 +0000 /?p=15774 Lire la suite ]]>

Beneath a Steel Sky n'est pas un site dédié au jeu vidéo des années 90 sorti sur Amiga et PC, mais un blog annexe d'Ozkar Photography, qui rassemble une partie de ses photos d'action graffiti, d'armes, d'exploration urbaine et des portraits.

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Under New York city /15812-under-new-york-city/ /15812-under-new-york-city/#comments Tue, 04 Jan 2011 18:00:22 +0000 /?p=15812 Lire la suite ]]>

Pour tous les amateurs d'exploration urbaine (Urbex pour les initiés), Andrew Wonder a filmé les entrailles de New York aux côtés de Steve Duncan.

Le New York Times a lui aussi suivi Steve Duncan, un article à lire en anglais ici.

Source : HYB

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