All City Blog » Résultats de recherche » molitor Graffiti News France Thu, 23 Oct 2014 10:00:15 +0000 fr-FR hourly 1 http://wordpress.org/?v=4.0 La Fleuj /55416-la-fleuj/ /55416-la-fleuj/#comments Wed, 09 Apr 2014 10:00:00 +0000 /?p=55416 Lire la suite ]]> La Fleuj - 511

Plasticien originaire du centre de la France, La Fleuj est passionné par le cinéma fantastique. Il réalise aussi bien des murs qui s'inspirent de la culture gore que des maquillages en silicone et des effets spéciaux pour des clips de Rockin'Squat, Rocé, Casey entre autres.

Quelques murs :

Quelques toiles :

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Interview Katre /41328-interview-katre/ /41328-interview-katre/#comments Mon, 19 Nov 2012 07:00:27 +0000 /?p=41328 Lire la suite ]]>

L'équipe de MTN-World s'est entretenue avec le writer français Katre, auteur de l'ouvrage Hors Du Temps 2 consacré au graffiti dans les lieux abandonnés.

« J'ai commencé à peindre en 1993, j'ai fait mes premières pièces sur la petite ceinture dans le 14ème arrondissement à Paris. J'ai commencé à faire des tags et des throw ups avec le crew STS dans le sud de Paris. Avec mon partenaire Again, on s'est concentré sur les gros murs. Après avoir rencontré plein de personnes différentes, je suis entré dans le crew SWC (Cispeo, Fan77, Mery, Soaf, Olce, Deks…). J'ai alors participé à de nombreux festivals en France en réalisant des murs à concept (comme les murs Coca-Cola ou Heineken) avec le crew OMT (Bore, Nexty, Siche, Polux, Sindé, Tank…) et le crew TER de Bayonne. J'ai ensuite rencontré Reso de Toulouse qui m'a invité à rejoindre son crew LCF. J'ai ensuite réalisé de gros murs en France et en Europe. Ces crews sont comme ma famille mais ce n'est pas seulement pour peindre qu'on se voit. »

« J'essaie désormais de simplifier mes lettres, de ne plus peindre d'une manière classique avec intérieur, contours, 3D et high lights. J'essaie de trouver le bon geste. J'utilise des fat cap astro pour faire mes contours. J'adore jouer avec ces caps pour faire des lignes biens larges retouchées ensuite au skinny. Je ne fais que des contours, pas de 3D, juste ce qu'il faut pour créer un contraste. »

« Dans ce nouvel ouvrage, j'ai essayé de montrer les œuvres des writers européens tout en montrant le contexte, l'ambiance de l'endroit ou ils peignent. Ces endroits sont incroyables, étranges et très paisibles à la fois. C'est un moment unique de découvrir des lieux abandonnés ou une usine abandonnée avec toutes les machines à l'intérieur. J'explore depuis que je suis tout petit, j'aime prendre des photos de ces endroits. A l'université, j'ai fait un master sur les lieux abandonnés, principalement la piscine abandonnée Molitor dans le 16ème arrondissement à Paris. »

« Il y a des writers qui travaillent maintenant plus sur toiles que sur murs. C'est une évolution. On peut respecter ce choix, comme je respecte le droit de peindre uniquement des trains. Il y a tellement de directions possibles dans le graffiti, c'est compliqué de décréter ce qui real et qui ne l'est pas. En ce moment à Paris, de nombreuses galeries font des expos graffiti. Certains gagnent beaucoup d'argent, d'autres non, c'est les règles du jeu. »

L'intégralité de l'interview est à lire ici.

Le livre Hors Du Temps 2 – Le graffiti dans les lieux abandonnés est une édition cartonnée de 256 pages et coûte 34,50€. Il est exceptionnellement disponible pendant un mois en « prix vert » (32,78€)  ici sur Allcity.fr et dans les All City Stores de France.

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Interview Drone DT15 /36872-interview-drone-dt15/ /36872-interview-drone-dt15/#comments Tue, 10 Jul 2012 17:00:00 +0000 /?p=36872 Lire la suite ]]>

Gossip Graffiti a interviewé Drone DT15, un old-timer qui a connu les premières heures de gloire des métros et des trains parisiens aux côtés de Pseye, Oeno ou Fal1. On a sélectionné quelques extraits et anecdotes.

« J'ai commencé le graffiti à 13 ans, en 1984, dans le 12ème, avec un marqueur Stabilo Boss, et un blaze à l'encan, Fluo. Passant mon temps à dessiner sur les marges de mes feuilles, puis les tables, la migration du break que je pratiquais sans génie au graffiti s'est faite progressivement. Médiatisation des Zulus, émission télé, encart graffiti métro MTA dans un Titan, et surtout un linteau décoré rue Traversière, sur le premier Sound Record, je pense que c'était un Sound Record, m'ont conduit à m'y intéresser. Il y a eu aussi cet article sur Costa ou Kosta, le prof graffiteur. Arrivé au lycée en 1985 dans le 4ème, je fais la connaissance de Stuff aka Kraze RRC qui à toutes mes tentatives de fraternisation m'opposa sarcasme et mépris, puis de Reok qui me fit entrer dans les ADR et les TAG avec Asker. La suite, rencontre de Dr Scratch, qui devint Echo et qui m'offrit la joie insigne d'assister place des Vosges à la dépouille de ce prétentieux bourgeois de Krase, rencontre de Gandi et Gemo RRC au terrain de Scare TRP rue Pirandello, qui, eux, me traitèrent avec respect et patience lors de mes séances de questions sans fin, création du M cru (MDM, le M entouré), rencontre avec Pseye qui m'invita dans les SOS puis de Fal1, création des DT15, etc… »

« A un moment donné, fin 91, les connexions devinrent plus nombreuses. Mon ami Pseye s'associa avec Sylvain Doriath alias Eresy 4AD. Ils peignaient de plus en plus de trains. Ainsi découvris-je Garches, et de manière générale ce que j'appelle la chasse gardée des ASA et DUC, à savoir la PSL. J'ai fait 5 ou 6 virées là-bas, avec Togs TFB VEP, Defun 4AD, Eresy 4AD… Décembre 91, j'ai aussi tapé Vaires sur Marne avec les Eresy et Defun qui tenaient, hallu totale, à pomper des lettrages style bandelettes que sortait Number 6, sur les trains. Inimaginable, je cogne deux windown downs sur un wagon, chrome, outline Krylon bleu Boxer, en 30 minutes et ces oubliés de la génétique font de la copie de maître en largeur 2m et quelques sur 60cm de haut, en plus d'une heure. A un moment arriva ce qui devait arriver, maître chien, course poursuite, chute dans une fosse de réparation, perforation du grand oblique, sang qui coule… Je retrouve ces pathétiques énervés dans leur caisse. Je pisse le sang, leur demande de me ramener chez moi pour que je m'occupe de refermer tout cela et me vois opposer un refus au titre de ce que Monsieur Eresy n'avait pas sa tof. Je colmate la plaie avec le bonnet Lakers que Daes m'avait prêté (don du ciel, merci Tarek) et je me dis que tant qu'à faire, autant lui faire bouger sa caisse, garée avant un pont sur lequel passe la voie. Cramé de chez cramé, ou Nedro et les tebês, ça aurait pu faire un beau titre de film non ? Donc, nous bougeons la gov, dans le parking d'une cité, tranquille. Son altesse se barre prendre ses tofs, non sans lui avoir demandé d'ôter de ses poches caps, gants latex… Il revient 15 minutes plus tard, sauté trois fois, une fois avec le maître-chien et des schmitts qui ne l'ont pas reconnu, une seconde par des schmitts en caisse, la troisième par la BAC. Je le savais… Ensuite, laborieux retour sur Paname, en lui demandant bien gentiment de quitter Vaires vers la province et non Paris où les lardus n'auraient pas manqué de nous topper. Soirée marquée du sceau de l'égoïsme. Toujours se fier à sa première impression, Yepse et la clique ne voulaient pas venir. Quatre mois sans sport et une cicatrice d'enculé. Un mois plus tard, Eresy balançait Pseye, que je perdis de vue. Pseye le seul à ne m'avoir jamais abandonné, de quelque manière que ce fut. Perdu, affamé, à la ramasse, il m'a toujours affranchi, et je lui en serai éternellement reconnaissant. »

« La première fois que j'ai tenté de peindre un métro… Peint ? Enfin, je dis peint, je n'ai jamais su peindre comme Pseye, Colorz ou Pozer qui posaient de belles lettres propres. 1990 Michel Ange Molitor. Je rate le rendez-vous DT15 à Richard Lenoir et me mets à rôder. Incidemment, je finis dans la boucle de la 10, à Chardon Lagache si je me souviens bien, que je repasse plusieurs fois afin de tenter de mieux discerner une ouverture dans la paroi du tunnel par laquelle j'ai cru voir un train jaune clair. Au final, je me colle dans la cabine conducteur en queue, ouvre la porte et saute alors que le train va arriver en station. Dix ou quinze mètres à rebrousser chemin dans le tunnel puis l'ouverture se présente sur ma droite. Je me faufile, la gorge sèche comme lors d'une mauvaise angine, mes rangers font un bruit de dingue sur le ballast, je respire trop fort, je pense trop fort. Puis le calme survient, à la semblance du second souffle en cross. Et là, je prends une courbe avec ces si jolis métros de la 10. Pop, ce seront des flops tout laids, morch comme disait Kone, chrome et noir. J'ai dû passer une vingtaine de minutes en apesanteur. »

« Ivry, dans la rue en bas de la cité d'Ange DT15, il y avait une trappe, pas loin de notre pièce Artist (Petit message en passant pour remercier le fan d'Ace MPV, qui lui colle des RIP et des kasded dans Ivry, et qui nous l'a toyée avec ses dédicaces Post Mortem.) Bref, un samedi, la clique se rassemble Ange, Le Homard, Eaze, Pseye, Dystur,Pozer, Colorz, Oeno et votre humble serviteur. Ange décide de cogner les moteurs, les autres peignent des lettres avec moi. Moments de joie hors du temps. Mes peintures finies, un Drone avec un E immonde et un Faut Tout Sakma en drops morch pas remplis, je me dis que comme les TCG qui avaient laissé des traces dans le dépôt, j'allais en faire de même. Je remonte ensuite avec Le Homard, et on pose des blazes dans le tunnel vers Pierre Curie à la Rusto marron Fat cap. Cependant, en revenant de notre ballade, nous entendons un grand bruit de piétinements, puis plus rien. Après coup, nous apprîmes que Dystur avait cru que les schmitts arrivaient, et avait par voie de conséquence fait détaler tout le monde. Passés sur le quai des arrivées, nous entrons dans le dépôt pour voir ce qu'il s'est passé. Personne. Nous attendons 5 mn, il est près de 3h30, et nous nous dirigeons vers la seconde sortie. Grilles fermées, Ange a ma 11-01… Nous redescendons les marches afin de rentrer dans le dépôt et ressortir par la grille d'aération, et là nous entendons Pseye nous héler. Voilà ce qu'est un ami ! Le seul qui est revenu nous sortir, le seul. Un ami ne laisse jamais quelqu'un sur le carreau, et n'abandonne jamais les siens, point final sur la leçon. »

« Je suis entré SOS après avoir foiré le Bac en 89. Scai, Borez, Pseye, Kone m'ont initié aux subtilités du dépôt. J'étais tellement attristé d'avoir déçu mes parents pour cette histoire de Bac que j'ai eu pour me rattraper de ces quatre mois d'abstinence une envie de vivre à 100 %. Camions, RER, métro, rues sur le chemin du PC, je me suis gavé. Avec Kobz MDM DT15 TBA, nous avons même cogné Denfert la nuit du 14 au 15 juillet. Tout le monde était dehors, sauf les gardiens, bizarre. Ensuite il y eut cette période DT15, plutôt DT15 NPA TEH TKE DAP CMP. Il y avait toujours des nouveaux aux rendez-vous. Le samedi, c'était Cléton rue Saint Sabin pour les Buntlack et les Posca, le centre commercial Beaugrenelle pour les Do It, Métro ou Rougié et Plé pour la Jet, Soufflot pour la Magic et la Flo Master, Graphigro rue des Boulets pour les Krylon et les Buntlack. Et j'en passe. J'étais toujours très précautionneux, mais les autres… Pseye faisait tout valser, Fal et Oeno se gavaient à grande vitesse, de purs malades. Le samedi soir, de temps en temps je me collais à un plan VEP, avec des fois des attentes marrantes comme cette fois où avec Colorz et Oeno on a perdu presque trois heures, dans un local à poubelles d'une cité de Vincennes attenante au dépôt, puis retour maison sac plein, plan cramé. Le dimanche donc, c'étaient les rendez-vous Richard Lenoir. Les dépôts certaines fois, c'était folklo, ambiance la queue à la Poste les jours de RMI. 93MC, VEP, DCA, CP5, SAS, KTG, HKG, MKC, AEC, DCP, 1999, TNG, DKG, DAP, 41CM, DSE et autres ne laissaient aucun répit au matériel. C'était la teuf. Période extrême, où nous vivions une vie 80 % du temps, celle du graffiteur, et vivions la vie de gens hmm hmm normaux les 20 % restants. Jamais pu vivre correctement, ni entretenir une relation stable avec une femme car tout ce qui ne relevait ni du graffiti ni de l'optique d'un diplôme ne bénéficiait à l'époque que du strict minimum, à savoir en dernier, après le peu de temps que je consacrais à dormir, c'est dire… »

« Aucun remord, aucun regret. Je ne regarde pas en arrière. Le passé a conditionné une bonne partie des malheurs de mon peuple, nous en payons toujours le prix infâmant. Je tente pour ma part de reprendre ce qui m'a été spolié tant par l'histoire réécrite par les vainqueurs, que par cette prostituée que l'on nomme à tort démocratie. C'est assez de travail pour qui regarde devant lui ! Nous écrivons notre vie, nous ne la pleurons point. Parallèle à tirer pour les bourgeois qui parlent à tort de street art et post graffiti. Il n'est pas de postgraffiti car 1 : cette pratique n'est qu'un ersatz de la nôtre, et 2 : le graffiti vit et continue de vivre. Il n'y aura jamais, n'en déplaise à la Baltringue de Delamarre de la fondation Cartier ou aux ignares d'Etapes Graphiques, de post graffiti. De toutes les manières, le graff, et son appréciation en France, ne sont qu'illusion fondée sur la rumeur, le paraître et les compromissions. Il n'est point d'innocence en ce milieu, juste des nuances dans la collaboration servile entre art brut et art pute. »

L'interview est à lire dans son intégralité ici.

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World Piecebook: la vidéo /32316-world-piecebook-la-video/ /32316-world-piecebook-la-video/#comments Sun, 11 Mar 2012 13:15:09 +0000 /?p=32316 Lire la suite ]]>

Comme Nike et de nombreuses autres marques de vêtements grand-publics, Reebok tente à son tour de gratter un peu de crédibilité en lorgnant sur l'univers du graffiti, et apporte sa petite contribution du moment. C'est ainsi que Reebok Classics nous présente ce petit film plutôt bien ficelé, qui part à la rencontre des auteurs et acteurs clés du livre World Piecebook, le troisième recueil de sketches de la collection Piecebook.

World Piecebook vous fait ainsi découvrir les dessins et sketches d'artistes issus de la scène internationale et pas des moindres : Paze, West, SP.One, Wane COD, Rime MSK, Chino BYI, Ewok 5MH, Pez de Barcelone et How & Nosm de New York notamment – tous sont interviewés dans cette toute nouvelle vidéo.

L'édition reliée de luxe de World Piecebook coûte 28,45€ et est en vente ici sur Allcity.fr.

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Gratuit: Urban Culture Magazine /30521-gratuit-urban-culture-magazine/ /30521-gratuit-urban-culture-magazine/#comments Tue, 31 Jan 2012 11:30:32 +0000 /?p=30521 Lire la suite ]]>

Urban-Culture est un magazine papier indépendant et gratuit, qui suit l'actualité de la culture urbaine en France depuis 4 ans. Réalisé par une équipe de passionnés, le magazine est un condensé de tout ce qui fait la diversité de ce milieu, tant au niveau visuel et esthétique que de la performance pure et brute, sportive ou créative. Avec une ligne éditoriale totalement libre et un réseau de journalistes étendu, chaque numéro apporte son lot de diversité. Portraits d'artistes, interviews de sportifs, présentation de travaux, jeu-concours, musique, portfolio et histoires de la société actuelle, Urban-Culture c'est tout ça… sans oublier le graffiti bien sûr.

Les 5 premiers numéros d'Urban-Culture sont désormais également disponibles en version numérique, voici une petite séance de rattrapage si vous les avez manqués :

Le 1er numéro est sorti en Septembre 2008, avec notamment au sommaire de l'exploration urbaine, des sports urbains (parkour, mental) et du lightgraff. Celui-ci est également téléchargeable au format PDF ici.

Le 2éme numéro est sorti en Mars 2009 avec entre autres une interview de The SheepEst. Disponible au format PDF ici.

Le 3ème numéro est sorti en Février 2010, avec notamment au sommaire un article sur Antonin Rêveur, graffeur illustrateur et artiste engagé, un reportage sur le graffiti à Tahiti avec les interviews exclusives de Sone, Cher1 et Neos. Disponible au format PDF ici.

Le 4ème numéro est sorti en Décembre 2010 et inclut notamment un dossier sur le lightgraff / lightpainting.  Disponible au format PDF ici.

Enfin, le 5ème numéro est sorti en Novembre 2011, avec au sommaire du graffiti à la piscine Molitor, un portrait du collectif Medlakolor et deux portfolios sur le street art à Montréal, Melbourne et Sydney. Disponible au format PDF ici.

Le prochain numéro est prévu pour Avril 2012, et bonne nouvelle, sa version papier sera disponible gratuitement dans tous les All City Stores de France.

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Mambo – Tribute to Johnny Weissmuller /30193-mambo-tribute-johnny-weissmuller/ /30193-mambo-tribute-johnny-weissmuller/#comments Wed, 25 Jan 2012 07:00:20 +0000 /?p=30193 Lire la suite ]]>

En 1929, Johnny Weissmuller inaugure la piscine Molitor à Paris. Mambo rend hommage à ce chef d'œuvre Art Déco en créant un lien entre cette époque et aujourd'hui dans cette vidéo réalisée par Nicolas Chambon et Adrien Pavillard.

Source : ILG

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Skeo X Casey /23000-skeo-casey/ /23000-skeo-casey/#comments Tue, 26 Jul 2011 06:00:27 +0000 /?p=23000

Skeo BP fait une apparition dans le clip de la rappeuse Casey intitulé Pas à Vendre :

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Mouvements Libres @ Molitor /22628-mouvements-libres-molitor/ /22628-mouvements-libres-molitor/#comments Fri, 08 Jul 2011 17:00:19 +0000 /?p=22628 Lire la suite ]]>

Lorsonik production a organisé du 18 au 21 Juin 2011, un événement mêlant street art et concerts, pour présenter les artistes de son label sur une scène éphémère dans un cadre insolite : la piscine Molitor à Paris.

Mathieu Murillo de Mouvements Libres a réalisé une vidéo de l'évènement :

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TER Crew: Painting & Art /21848-ter-crew-painting-art/ /21848-ter-crew-painting-art/#comments Sun, 26 Jun 2011 10:00:46 +0000 /?p=21848

Le crew TER inaugure son nouveau Tumblr sur lequel Katre, Toune, Karo, Forma, Taro, Haribo, Elyte, Seck et d'autres encore publient leurs dernières productions.

Une vidéo filmée à la Piscine Molitor à Paris avec les crews OMT et TER :

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Exploration du métro parisien /16198-exploration-du-metro-parisien/ /16198-exploration-du-metro-parisien/#comments Mon, 17 Jan 2011 18:00:24 +0000 /?p=16198 Lire la suite ]]>

Il y a un an, on vous parlait déjà de Sleepcity, site anglophone d'exploration urbaine (Urbex). Les membres de ce site ont récemment exploré de fond en comble le métro parisien. Ils en ont ramené des photos inédites et un texte qu'on a traduit.

Le Métro de Paris et le service qu'il fournit sont profondément entrelacés dans le tissu de la ville. Les 4.5 millions de passagers quotidiens certifieront probablement que c'est le moyen le plus rapide pour se rendre à son travail, et/ou un fantastique terrain de jeux. Le style Art Nouveau si distinctif du métro parisien est omniprésent : les entrées de station en fer forgé vert se terminent à leurs cimes par des globes oranges, la signalisation métropolitaine a été entièrement conçue par Hector Guimard. Lors de mon premier séjour à Paris je suis arrivé à Gare du Nord et suis entré dans le labyrinthe dense du métro. Malgré la foule, le bruit et l'odeur distincte de pisse, je suis tombé amoureux. Cette sorte d'amour qui donne envie de risquer sa vie.

Historique
Le 20 avril 1896 le projet de construire un système de transport souterrain à Paris commence. Quatre courtes années plus tard la Compagnie du chemin de fer métropolitain de Paris (CMP) ouvre sa première ligne Est-Ouest de Porte Maillot-Porte à Vincennes. Peu de temps après la Société du chemin de fer électrique souterrain Nord-Sud de Paris s'est liée à la CMP  pour réaliser 10 lignes avant 1920. Initialement ces lignes desservaient exclusivement Paris (les résidents snobs se sont assurés que le métro n'aille pas en banlieue) De 1930 à 1950 la banlieue a été finalement connectée au reste du réseau. Le métro de Paris évolue et change constamment, il y a de nombreuses rénovations, extensions de ligne et automatisation (comme sur la ligne 14).

De retour en 2007, une nuit d'Octobre après minuit et avant que la circulation des trains ne commence, qx et moi avons fait nos premiers pas timides sur les voies du métro parisien. Avec beaucoup de nervosité et de soin, nous sommes descendus du quai avec précaution pour marcher entre les rails en se demandant quelle folie nous poussait à faire ça. Nous n'avions jamais fait ça avant et ce nouveau monde effrayant était plein de choses que nous ne comprenions pas du tout. On se méfiait du 3ème rail électrifié en se posant de nombreuses questions : quelle est la taille d'un arc électrique, peut-il nous atteindre, est-ce que ça arrive souvent, les caméras sur les quais peuvent-elles nous voir, est-ce qu'il y a de la sécurité dans les tunnels, des trains circulent-ils après la fin de service et s'il y en a à quelle vitesse se déplacent-t-ils, y a-t-il des gens qui vivent dans ces tunnels, est-ce qu'on y croisera des writers ?

On a entendu plein d'histoires concernant les membres de la sécu de la RATP qui ne s'encombrent pas du règlement et qui tabassent ceux qu'ils trouvent dans les tunnels avant de les foutre dehors.

On n'emportait pas de peinture avec nous mais est-ce que ça changerait quelque chose ?

On est descendu brièvement dans les tunnels en ressortant presque aussitôt de la station. Nos premières incursions étaient vraiment courtes et hâtives, on avait aucune idée de ce qu'on faisait, mais ça faisait l'effet d'un shoot d'adrénaline dans le bras d'un tox. C'était suffisant pour nous rendre accros et on a renouvelé souvent l'expérience comme 2 sales démons.

Les années suivantes, on est devenu esclave de cette addiction comme ceux qui ont grandi loin d'un système métropolitain. Semaine après semaine, on s'est introduit dans les tunnels aux premières heures, parcourant nos cartes, recouverts de la tête au pied par cette poussière noire et crasse qui ne part jamais vraiment des vêtements. Je me réveillais le matin d'après avec cette odeur si distinctive dans les narines, qui imprègne les vêtements, les draps et mes cheveux. La fine couche de crasse qui se logeait sous nos ongles ou entre nos doigts était une fierté, le symbole de notre dévotion. Ces symptômes ont
transformé notre apparence, notre discours et nos rêves. Le réseau comportait une liste infinie de possibilités à nos yeux et on voulait toutes les exploiter.

Les stations fantômes
Avant de se déplacer plus profondément dans le réseau, on s'est intéressé aux stations abandonnées. Certaines d'entre elles sont des lieux de stockage pour la RATP, d'autres sont complètement inutilisées et d'autres encore n'ont même jamais été ouvertes au public. Avec le temps on explorera tout.
Arsenal, Champ de Mars
Les stations Arsenal et Champ de Mars sont les plus faciles à visiter, c'est donc un bon échauffement. Alors qu'elles sont géographiquement opposées, elles partagent une histoire commune. Elles ont fermé le même jour, le 2 Septembre 1939 quand les employés du métro ont été réquisitionnés pour participer à l'effort de guerre. Après la guerre, elles n'ont pas été réouvertes en raison de leur proximité avec d'autres stations. Le métro de Paris est un des plus denses au monde avec une distance moyenne de 500 m entre les stations.

En sachant cela, on peut rejoindre les stations abandonnées en courant dans le tunnel. Évidemment on serait tenter de marcher, mais le luxe d'une promenade calme n'est pas au programme ! Les alcôves s'étalent à distance raisonnable, mais elles ne sont pas assez profondes pour vous cacher des chauffeurs, ce n'est pas la peine de les utiliser. Fais plutôt les lacets de ta paire de running et prépare toi à courir, à sauter et à te débrouiller avec des obstacles comme des bouts de bois abandonnés, des morceaux de métal, des cailloux du ballast et des câbles emmêlés.

Sois aussi prêt à te jeter entre le 3ème rail et le mur quand un métro arrive. Ce n'est pas les jeux olympiques, personne n'attend la grâce et la vitesse d'une gazelle et les cailloux du ballast seront les seuls témoins de tes exploits. Idéalement le coureur de tête s'occupe des trains qui arrivent en face, le dernier regarde derrière et la personne intermédiaire, s'il y en a une, évalue la distance parcourue. Il faut aussi se méfier des boîtes électriques et des protubérances du mur qui obligent à se baisser tout en faisant attention au 3ème rail, il ne faut pas s'assommer et finir grillé sur le rail. Les alcôves facilitent la progression, mais évalue correctement la distance qui t'en sépare (si t'es assez chanceux pour la voir) et décide s'il faut s'arrêter et attendre ou continue de courir en faisant confiance à la chance.

Croix-Rouge
La station Croix-Rouge était le terminus de la ligne 10 utilisée seulement pendant 16 ans, elle aussi fermée en 1939 en raison de la guerre et jamais réouverte. Comme les stations Arsenal, Champ de Mars et Saint Martin, on peut distinguer Croix-Rouge par les fenêtres du métro entre 2 stations. On s'est servi de cette base pour évaluer la distance à parcourir, pensant que ce n'était pas trop loin, j'ai invité ma copine à se joindre à nous. Elle a prudemment accepté et l'a aussitôt regretté quand on s'est rendu compte que c'était plus loin que prévu. Je doute qu'elle me le pardonne un jour.

Saint Martin
Saint Martin est la plus grande et la plus connue des stations abandonnées. C'est la seule à avoir 2 niveaux et 2 lignes de métros, la 8 et la 9 qui la traversent. En plus de sa taille, Saint Martin est connue pour ses affiches des années 40.


« Ces publicités datent de 1948, elles n'ont jamais été vues par le public. Notez qu'il n'y a aucun graffiti, ce qui signifie 2 choses : elles sont dans une zone fréquentée et surveillée par des caméras ou elles sont dans une zone difficile d'accès.
Après la guerre, le business de la pub dans le métro n'était pas en forme. Pendant les brèves réouvertures de ces stations, il a été décidé de les transformer en véritable vitrine de ce que la régie du métro pouvait proposer comme type de publicité aux annonceurs potentiels. Mais ces stations n'ont jamais ouvert et les affiches n'ont jamais été vues du public.
Ces 2 pubs font la promotion de produits réels, Maïzena existe toujours. C'est un exemple de pub annuelle semi permanente.  Fabriquées en céramique, elles sont en bon état 50 ans plus tard . » ( extrait de Pridian)

Les stations jamais ouvertes
Ces accès par les voies nous ont mis l'eau à la bouche, il nous en fallait plus. Haxo et Molitor appartiennent à une espèce différente, elles n'ont pas été finies, ni connectées à la surface, ni ouvertes au public. Il faut ajouter à cela qu'elles ne
sont pas sur le tracé utilisé par le service général, il n'est donc pas possible de les apercevoir par la fenêtre du métro. Elles sont situées prés de dépôts de métros, ce qui promet son lot d'aventures.

Haxo
La station abandonnée d'Haxo n'est pas vraiment une station, un seul quai a été construit et seulement une partie a été ornée du typique carrelage blanc du métro parisien. La station est entièrement recouverte de graffiti. Visiter Haxo est une aventure risquée. La Voie Navette venant du Sud est un dépôt de métro surveillé par des maîtres-chiens et rempli de travailleurs. 3 amis se sont fait attraper pour la première fois en essayant l'accès par la voie venant du Nord.

Molitor
Molitor est la station abandonnée la plus dure d'accès et ma favorite. Personne n'y a jamais pénétré, les seules images visibles sur internet sont des photos officielles de la RATP.

« La légende dit aussi qu'on peut accéder à la station par un escalier du lycée Claude Bernard. »

Jean Christophe Patat.

C'est évidemment une légende, on s'en rend compte après avoir passé les caméras et les alarmes, il n' y  pas d'autre chemin possible. Et ça se mérite. Molitor est un quai isolé sous une voute en carrelage blanc. Il n'y a aucune affiche à voir mais c'est compensé par le nombre de métros stockés. Et il y en a beaucoup. Vers le Sud, il y a la voie Murat remplie d'une dizaines de trains, avec encore plus de caméras, d'alarmes et d'aventures.

Tunnels de raccordement
En plus des stations citées précédemment, le système est rempli de tunnels de raccordement pour faciliter le passage du matériel roulant entre les lignes. Ces tunnels sont très pratiques, on peut s'y dissimuler en attendant la fin du trafic ou éviter les stations les plus fréquentées en passant d'une ligne à une autre. On peut aussi y chiller pour écouter les trains passer. Il ne faut pas trop prendre ses aises, un train de travailleurs peut toujours interrompre une petite sieste. On se tape facilement une petite suée en voyant arriver ces gros monstres diesel à 5 km/h remplis d'ouvriers.

Les tunnels de raccordement sont courts, il n' y a qu'une seule voie avec moins de graffitis que sur les lignes principales. Le souffle créé par le passage des rames envoie une fine couche de poussière qu'on retrouve partout. On peut penser qu'il y a moins de graffiti parce qu'il n'y a aucun passage. Il y a évidemment des exceptions et des surprises qui ne figurent sur aucun plan.

Le matériel roulant
Avec le temps les tunnels deviennent répétitifs, tout finit par se ressembler. C'est certainement un cliché mais les balades dans le métro deviennent une expérience et une aventure, un voyage sans destination particulière. Cette aventure n'est qu'une accumulation d'évènements imprévisibles qui peuvent être dangereux. Mais c'est l'intérêt de se balader dans un système vivant et comme on dit, il n'y a pas de nuit tranquille dans le métro.

Naturellement le plus grand risque est le matériel roulant. On ne se comporte pas comme les trainspotters à inspecter les différents modèles, on est plus impressionné par la puissance de ces machines qui peuvent nous réduire en bouillie sans aucun état d'âme. A la fin, on s'est surpris à essayer de s'approcher le plus possible de ces monstres fascinants.

Il y a les métros classiques, les métros automatiques comme sur la ligne 14 (et bientôt la ligne 1), les trains de travailleurs bien sûr et les Spragues. Une nuit, on s'est retrouvé sur nez à nez avec un Sprague à quai, comme s'il venait de sortir de la chaine de montage des années 30. C'était une rame à deux wagons, rouge et vert sur un fond blanc. Rouge pour la 1ère classe, vert pour la 2nde. Les sièges en bois de la 2nde classe étaient resplendissants et les sièges de la 1ère étaient capitonnés. Il n'a probablement pas bougé depuis, attendant d'être sorti pour un évènement. Ne me demandez pas ou c'est, je ne m'en souviens pas.

Les risques
Ces activités sont dangereuses et plus ou moins illégales, et je serais hypocrite en vous disant de ne pas faire ce que je fais. Je vous fournis donc une petite liste de situations auxquelles on peut être confronté.

-Se faire attraper saoul par la police et la sécurité, accompagné de 2 cataphiles français sous champignon.
-Se battre avec des français.
-qx laisse tomber ses clés sur le 3ème rail
-Courir devant un train fantôme prés de la station Vavin
-Sprinter dans un tunnel de raccordement après avoir touché un métro automatique qui s'est mis immédiatement en marche.
-Se cacher sous les sièges d'un wagon en attendant que les nettoyeurs passent prés de Molitor
-Un chauffeur à Place des fêtes nous a dit qu'il était content que personne ne lui jette de cailloux cette fois.
-Se faire surprendre dans un tunnel par un chauffeur de métro qui savait pertinemment qu'on était là.
-Rencontrer des travailleurs cool dans une ancienne station de métro et faire la sieste allongés sur le sol.
-Remonter sur le quai en sortant d'un tunnel avec un métro en station et tous les gens qui nous matent.
-Être pris en étau par 2 groupes de travailleurs prés d'un dépôt alors qu'on cherchait un tunnel de raccordement.
-Sortir d'un tunnel et voir que sur le quai la sécurité attend en guet-apens alertée par les caméras de surveillance, autant dire qu'on a fait demi-tour très vite.
-Se faire attraper par la sécurité effrayée par le 3ème rail. Voir leur têtes quand pensant mettre la main sur de la peinture dans nos sacs, ils tombent sur des objectifs photos.
-Se faire arrêter par les contrôleurs en sortant d'un tunnel sur le quai d'une station qui ne pouvaient pas nous donner d'amendes vu qu'on avait un ticket valide. ils ont du trouver autre chose pour nous mettre une amende.
-La police s'arrête un soir derrière nous alors que nous sommes en train d'essayer d'ouvrir un accès, pensant qu'il s'agit des Catacombes ils nous en demandent plus.
-Être coursé par un maitre-chien qui hurle « bougez pas, bougez pas »
-Courir pour éviter d'être vu par les caméras, les alarmes et un maitre-chien qui demande si on sort des tunnels. « Non mec, on est juste des australiens saouls à la Maximator 12%. »

Les curiosités
En acceptant les risques liés à ce type d'exploration et après avoir exploré les stations fantômes, les tunnels de raccordement on peut apprécier les curiosités du système, les endroits non répertoriés. Ces endroits qui font de ces ballades plus qu'un safari dans les stations abandonnées.

Parmi les trucs bizarres :

Sur les quais gardés toute la nuit par les maîtres-chiens on ne manquera pas la pissotière.

Les énormes systèmes de ventilation.

Le Zébulon, le prototype du MF67, dans une station en activité mais sur un quai à l'abandon.

Le petit morceau du tunnel de la Voie des Finances utilisée jusqu'en 1967 pour le transport de fonds des stations.

Les tunnels sous la Seine ressemblent à ceux de Londres.

Tunnel de la ligne 14 aux stations équipées de parois vitrées.

La boucle de Porte Maillot.

Photos en vrac :

Et bien sûr, un tunnel abandonné reconverti en dépôt de Spragues qui attendent leur entrée dans un musée. Peu de temps après notre visite on a appris que ce lieu avait servi à une énorme fête clandestine. Plus d'infos ici.

On n'a pas fait le tour complet du système, il est trop vaste et en permanente évolution. Il n'y a pas de liste définitive de lieux à explorer ni de plan, à vous de découvrir, de manière intuitive. Les graffitis n'enlèveront rien au plaisir de découvrir des endroits presque vierges et inconnus. On a rencontré absolument personne, pas de writer ni d'autre explorateur urbain. C'est facile de penser qu'il y a donc beaucoup à faire dans les sous-sols parisiens, à vous de jouer.

Source : Sleepcity

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Nike @ Piscine Molitor, Paris /7766-nike-piscine-molitor-paris/ /7766-nike-piscine-molitor-paris/#comments Sat, 29 May 2010 06:00:57 +0000 /?p=7766 Lire la suite ]]>

Quand on s'appelle Nike et qu'on veut coller aux cultures urbaines pour faire la promo de ses nouveaux produits, on s'invite du 20 Mai au 6 Juin 2010 à la Piscine Molitor, le fameux hall of fame parisien pourtant interdit au public…

Au programme de cet évènement intitulé The Club, cours de tennis, démos de bike-polo et de BMX, des soirées… mais surtout l'occasion pour une fois de visiter ce lieu hors-du-commun sans finir au poste – à croire que les dollars des multinationales font parfois des miracles !

Retrouvez le programme complet ici.

Source : Facebook

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Casey @ piscine Molitor, Paris /3786-casey-piscine-molitor-paris/ /3786-casey-piscine-molitor-paris/#comments Mon, 22 Feb 2010 07:00:24 +0000 /?p=3786 Lire la suite ]]>

La piscine Molitor situé prés du bois de Boulogne, entre Roland-Garros et le Parc des Princes, a été inauguré en 1929 par Johnny Weismuller, le champion olympique de natation qui incarna « Tarzan » à l'écran. Souvenir des années 30, et du style paquebot avec ses fenêtres hublots, l'endroit a tout connu : des défilés de mode aux représentations théâtrales, de la révolution du bikini au topless. Fermé depuis 1989,  le complexe nautique a su s'adapter à son temps et a été investi par les raves et autres free parties, puis depuis 2001 par les graffeurs. Le PhotoGraff Collectif lui consacre un article ici. Casey, rappeuse française, a profité des lieux pour y tourner une partie du clip de « Apprends à t'taire », extrait de son prochain album « Libérez la bête ».

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