Un monde de lettrages et de logotypes… c'est le sujet de Logorama, un film français réalisé par H5 et qui vient de remporter aux Etats-Unis l'Oscar 2010 du meilleur court-métrage d'animation. Le voici dans son intégralité.
Source : Bu2z
Un monde de lettrages et de logotypes… c'est le sujet de Logorama, un film français réalisé par H5 et qui vient de remporter aux Etats-Unis l'Oscar 2010 du meilleur court-métrage d'animation. Le voici dans son intégralité.
Source : Bu2z
Le Garage Moderne à Bordeaux vous invite au vernissage d' Appellation Graffiti Contrôlée, une exposition du travail de Rap UV-TPK, le 19 avril 2010 à 19h30. Au programme : Toiles, photos d'archives, projection du film Urban Vampires 2, DJ set par gRib.
Rap commence à peindre à la fin des années 80, emporté par la vague d'engouement pour le mouvement hip-hop qui déferle alors sur l'Europe. Il taggue d'abord dans son quartier, puis dans toute la capitale, spécialisant son action sur les supports roulants : métros, RER, trains. A la conquête de Paris et des autres métropoles européennes à partir de 1993, il plaque son ghetto art dans un style qui lui est propre : lettres bâtons souvent terminées en flèches, contours épais, coulures, couleurs vives, personnages de BD aux expressions naïves… Respectueux de la tradition new-yorkaise et profondément admiratif des pionniers comme Blade ou Seen, il reste fidèle à l'esprit originel dans sa pratique. Le groupe UV (Ultra Violent) qu'il fonde avec ses partenaires en 1997, s'affirmera comme l'une des branches les plus radicales du graffiti français. Véritables activistes artistiques, les UV se forgent une réputation solide et font trembler Paris et sa banlieue pendant plusieurs années.
Les années 2000 soufflent un vent nouveau. Répression, nettoyage systématique… Emprisonné à deux reprises pour sa peinture, Rap continue à dicter son nom dans d'autres villes, d'autres lieux. Progressivement il projette son univers pictural sur toile, à la recherche d' un nouveau support d'expression, d'un autre public, tout en faisant évoluer son style. Pour sa peinture, c'est à la fois l'accès à la pérennité et la clef d'entrée dans l'histoire officielle de l'art ; comme un témoignage sur un jeu dangereux.
Exposition du 19 au 30 Avril 2010
Le Garage Moderne
1, rue des étrangers – 33300 Bordeaux
Plan d'accès ici.
Source : Galerie A
If you're a snitch, don't buy Low Life Clothes. En clair, si tu es une balance, n'achète pas Low Life Clothes ! Le ton est donné sur leur nouveau site : Low Life n'aime pas les balances, déteste les flics… mais aime les métros.
Fabriqués sous le manteau et tirés à quelques exemplaires seulement, les premiers T-shirts Low Life se font connaître en 2007 grâce à des slogans sans concession ni ambiguïté : cette année-là, le best seller s'appelle tout simplement… Bern City – Fuck The Police !
Aujourd'hui la marque Suisse reste underground, mais la gamme de modèle s'est étoffée. La toute nouvelle collection vient d'arriver en France, avec six nouveaux designs originaux, et la réédition des deux modèles les plus demandés l'année dernière : Le métro de Paris et celui de Milan, dans la fameuse série Our City, Our Trains.
Tous ces T-shirts sont disponibles en série limitée à 22,95€, pour l'instant en exclusivité sur Allcity.fr.
Dans le même esprit que Combo de Blu, le collectif d'artistes basé à Tel Aviv en Israël Broken Fingaz vient de réaliser ce clip de graffiti en stop motion. Les peintres sont Tant et Unga, et le film a été tourné en trois jours sur leur toit, à Hadar.
S. Epic propose sur son Flickr de nombreuses photos de throw-ups de tags et de pièces en chrome en à Londres en Angleterre.