Dans ce clip intitulé Welcome to the city du rappeur/writer espagnol Naon TMS LHS, on trouve de nombreuses séquences dans les dépôts et lay ups de Barcelone.
Quelques pièces de Naon :
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Mais pourquoi ya toujours un suce boule pour poster un commentaire sans intérêt et en plus de ça laisser un lien vers un site web d’une galerie de croûtes monumentales, retournes donc t’empaler sur la verge de tes « artistes » au lieu de venir répandre ton venin sur ce blog.
parce qu’on les a laisser faire…
si 90% des graffeurs n’étaient pas des prostitués prete a tout pour un billet, ce genre de mec et son commentaire a la con n’existerait pas et il n’y aurait ni galeries, ni street-art, ni rien qui ressemble de pret ou de loin a la dégénérescence a laquelle on assiste depuis quelque années…
C’est dans la croyance en ce « on », groupe indéfini mais uni, que réside tous tes soucis Freddy. T’as été optimiste, rêveur, tu as cru, comme tes « ennemis »(qui n’ont pour 90% d’entre-eux jamais été vraiment dans le graffiti) qui croient trouver une deuxième maison bien chaude et accueillante dans les galeries, trouver une deuxième maison dans le graffiti, dans une société secrète, mais tu sais ça n’a rien de fantastique ni de sur-humain, c’est à la portée de tout le monde, ça ne demande pas beaucoup d’efforts, et ça n’est pas spécialement remarquable d’un point de vue esthétique ou plastique. Ce réflexe de se croire différent quand on est dans le graffiti, ou au-dessus du lot…
quand je dis « on » c’est façon de parler, j’aurais du dire « ils » c’est vrai..
parce que je ne calcule personne dans le milieu du graffiti et je hais la plupart des graffeurs, tout comme je hais la plupart des gens, le seul « on » auquel je crois se résume a une dizaines de personnes pas plus, le reste j’en ai rien a foutre.
après t’as en parti raison, j’ai été reveur surement au début mais ça n’a pas duré longtemps, je me suis vite rendu compte ou j’avais mis les pieds mais ça ne m’a pas empecher de continuer dans mon coin, et je n’ai jamais dis que j’étais au dessus du lot parce que je faisais du graffiti ça c’est ton interprétation, au contraire je suis dans le caniveau et j’assumes complètement…
par contre « différent » sans aucun doute par rapport a la moyenne, je ne vis pas comme monsieur toutlemonde c’est sur mais le graffiti n’a rien a voir la dedans.
à chier
Mais pourquoi ya toujours un suce boule pour poster un commentaire sans intérêt et en plus de ça laisser un lien vers un site web d’une galerie de croûtes monumentales, retournes donc t’empaler sur la verge de tes « artistes » au lieu de venir répandre ton venin sur ce blog.
parce qu’on les a laisser faire…
si 90% des graffeurs n’étaient pas des prostitués prete a tout pour un billet, ce genre de mec et son commentaire a la con n’existerait pas et il n’y aurait ni galeries, ni street-art, ni rien qui ressemble de pret ou de loin a la dégénérescence a laquelle on assiste depuis quelque années…
C’est dans la croyance en ce « on », groupe indéfini mais uni, que réside tous tes soucis Freddy. T’as été optimiste, rêveur, tu as cru, comme tes « ennemis »(qui n’ont pour 90% d’entre-eux jamais été vraiment dans le graffiti) qui croient trouver une deuxième maison bien chaude et accueillante dans les galeries, trouver une deuxième maison dans le graffiti, dans une société secrète, mais tu sais ça n’a rien de fantastique ni de sur-humain, c’est à la portée de tout le monde, ça ne demande pas beaucoup d’efforts, et ça n’est pas spécialement remarquable d’un point de vue esthétique ou plastique. Ce réflexe de se croire différent quand on est dans le graffiti, ou au-dessus du lot…
quand je dis « on » c’est façon de parler, j’aurais du dire « ils » c’est vrai..
parce que je ne calcule personne dans le milieu du graffiti et je hais la plupart des graffeurs, tout comme je hais la plupart des gens, le seul « on » auquel je crois se résume a une dizaines de personnes pas plus, le reste j’en ai rien a foutre.
après t’as en parti raison, j’ai été reveur surement au début mais ça n’a pas duré longtemps, je me suis vite rendu compte ou j’avais mis les pieds mais ça ne m’a pas empecher de continuer dans mon coin, et je n’ai jamais dis que j’étais au dessus du lot parce que je faisais du graffiti ça c’est ton interprétation, au contraire je suis dans le caniveau et j’assumes complètement…
par contre « différent » sans aucun doute par rapport a la moyenne, je ne vis pas comme monsieur toutlemonde c’est sur mais le graffiti n’a rien a voir la dedans.