Dans cette vidéo provenant du site officiel de la SNCB, on suit les chasseurs de graffitis Lorenzo Braga, Jacques Motte, Louis Esser et Serge Lippevelts au buff de Châtelet, en Belgique.
Armés de balais et de produits chimiques décapants, ils affrontent quotidiennement le résultat des assauts des writers qui ne lâchent pas l'affaire… Le graffiti sur trains semble encore avoir une longue carrière devant lui.
« Ce graffiti nous embête beaucoup parce que ça nous coûte beaucoup d'argent.
Un petit mot pour ces gens qui tagguent et graffitent nos voitures, ce matériel qui nous fait vivre. Graffitez vos murs, vos endroits prévus pour mais laissez nos trains tranquilles. Faites ça dans les endroits où, vous, vous avez l'occasion d'aller. »
-Louis Esser – collaborateur B-TC21
Un état d'esprit plutôt paradoxal, puisqu'en l'occurrence dans le cas de ces employés spécialisés, c'est précisément le graffiti qui les fait vivre…
Quelques photos de l'activité croissante des writers :
Plus de trainspotting belge à consulter ici.
Sources photos : Graffiti Art On Trains, Painted Trains
Ils ont bien du courage quand même…
pas plus que les balayeurs ou les éboueurs ,c’est leur taf c’est tout.
tout à fait d’accord avec ytreza et comme le dit le journaliste, ce sont des spécialistes du nettoyage de graffiti et sont payés pour ça et bien payés!!
Sa reste quand même un taf de merde, aussi bien payé soit il…