Dans cette vidéo réalisée pour Vulture Culture, Pemex innove en matière de body painting. A défaut de markers, il vide un extincteur rempli de peinture sur 2 jeunes femmes dénudées. Les empreintes réalisées lui servent ensuite dans l'élaboration de 2 toiles.
Source : 12oz
c’est de la merde
Peindre des meufs c’est quand même la manière la plus putassière de se faire de la pub. Alors ok, le mec est pas mauvais, mais au final à quoi ont servi les deux gazelles? A rien puisqu’on ne distingue même plus leurs silhouettes sur la pièce finie. Cette mode du body-painting me casse vraiment les couilles tant c’est beauf dans la mise en scène et le résultat. KEAG et SORE ont placé la barre très haut, ce sont les seuls à avoir donné un peu de sens à la pratique : peinture en saut de rails, modèle feminins variés (de la grande, de la grosse, de la petite, de la maigre, des blanches, des noires, des bonnes, des laides, des rousses…), et vandalisme de haute volé.
Le body-painting existe depuis l’invention des pigments, toute l’histoire de l’Art est blindée d’experiences et d’oeuvres faites avec, ou à partir, du corps plongé dans la peinture. J’avais l’espoir que le Graffiti en reprenant cette technique en fasse quelque chose d’un peu plus moderne et de plus interessant. Malheureusement, ça reste juste vulgaire et sans autre vocation que de faire un buzz. Dommage.