A São Paulo, les writers ont l'habitude d'escalader les façades d'immeubles ou de faire des pyramides humaines pour y tracer des pixaçaoes. Le risque de se blesser, ou tout simplement de se rompre le cou est assez élevé (chaque année on dénombre plusieurs morts parmi les pixadores). Pour s'assurer une bonne visibilité Revol, Larpus et le crew VERS ont opté pour les tags à l'extincteur, ce qui leur a permis au passage de faire un sacré buzz dans les nouvelles locales.
Source: http://www.besidecolors.com